La conférence sur la géologie du Congo a marqué la fin d’un accord de coopération de 10 ans entre le CRGM et le MRAC
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Commencée le 24, la conférence sur la géologie du Congo a pris fin le 25 octobre 2018 à la salle de conférence du Centre de Recherches Géologiques et Minières (CRGM). Au nom du ministre de la Recherche scientifique, le directeur général du CRGM, le professeur Valentin Kanda Nkula, a clôturé la conférence sur la géologie du Congo qui marquait aussi la fin de 10 ans de coopération entre le CRGM et le Musée Rpyal d’Afrique Centrale (MRAC) à Tervuren, en Belgique.
En présence de Guido Gryseels, directeur général du MRAC, qui a organisé la conférence avec le CRGM, le directeur général de CRGM a manifesté sa joie pour la réussite de la coopération entretenue pendant 10 ans par les deux structures.
Le directeur scientifique du CRGM, le professeur Fils Makanzu Imwangana, qui, tout en qualifiant de positif le bilan de cette coopération, a retracé les différentes activités réalisées durant cet accord- cadre de coopération.
Selon le directeur scientifique de CRGM, cet accord-cadre s’est effectué en deux étapes. La première courait de 2008 à 2012 avec une rallonge, qui a consisté en une étape intermédiaire en 2013 afin de permettre l’achèvement de la première étape. La deuxième étape court de 2014 à 2018.
L’objectif général poursuivi par cet accord-cadre était les renforcements des capacités humaines et techniques du CRGM, par le rehaussement du niveau scientifique des chercheurs et techniciens, et l’acquisition des matériels nécessaires de laboratoires et autre équipement, pour mener à bien les travaux des recherches.
La première étape concernait trois sous-projets, à savoir : le sous-projet « Géologie urbaine de Kinshasa » ; le sous-projet « Contexte géologique des ressources minérales de la chaîne néo protérozoïque Ouest-Congo (Kongo-Central) » ; et le sous-projet « Permis de recherche ».
La deuxième étape, a dit le professeur Fils Makanzu, qui va de 2014 à 2018, a consisté au renforcement des capacités de recherche et au service géologique. Cette période devrait permettre de montrer voire prouver les compétences acquises par le CRGM lors de la première étape et de les affiner à travers la conduite et/ou l’exécution des travaux de recherches scientifiques communs avec le MRAC.
Pour le compte du MRAC, tout en louant cette initiative, la géologue Pascale Lahogue a souligné la bonne représentation de la femme, quoique faible proportionnellement parlant, parmi les chercheurs bénéficiaires de cet accord.
Jean-René Bompolonga